Également joignable sur E-mail : alain.letondeur@gmail.com

Alain Letondeur est né en 1958 à Flers de l’Orne, pris d’un intérêt tardif à l’écriture, il décide de coucher son verbe sur le papier en 2013 et entreprend de publier en octobre 2021. 

Après une vie professionnelle dans les milieux de l’automobile et de l’assurance, fraichement retraité, l’auteur a rejoint l’association des Écrivains en Suisse Normande en 2022.

Écrivains, Poètes, voilà de biens grands mots !

Je ne suis qu'un jongleur de "mots à maux" en pratiquant humblement l'écriture et la poésie.

Suis-je un Écrivain, un Poète ?

Mes livres sont-ils de la littérature ou simplement de la lecture qui donnent du plaisir aux lecteurs et lectrices ?

A eux seuls d'apprécier...

Parutions :

Deux ouvrages de textes poétiques (2021) - Autoédition : Artiste Libre

-          Usurpation d’identité n° 1 « Animal, Animaux - AnimAL, Animots »

Poèmes, Fables, Morales, Chansons et Pamphlets animaliers

-          Usurpation d’identité n° 2 « Dans le cercle des mOts »

Poèmes intimistes sur les mots et les hommes, la vie et la mort, les saisons et les voyages

Un polar (2022) - Autoédition : Artiste Libre

-          Meurtre au Bistrot la Maison

Les ouvrages d’Alain Letondeur publiés et à paraitre en autoédition sont certifiés sans IA (Intelligence Artificielle), ils sont issus d'un cerveau humain et sont non soumis au recours d’un sensivity reader (lecteur en sensibilité) !

                                       Polar  / 4 nouvelles / 260 pages

Alain Letondeur signe, ici, un « Thriller lyrique » intitulé Bang, bang, sous forme de « Cosy crimes » en quatre Nouvelles. L’auteur donne naissance à ses héros, détectives privés, Elma Lemière et Ugo Bunel originaires de Granville et de Flers de l’Orne, les entrainant dans des enquêtes singulières entre terre et mer, de la Suisse-Normande à la baie du Mont Saint Michel.

Prologue : Naissance des Héros 

Dans l’inconscience heureuse des étés sans nuages de l’enfance, Elma et Ugo s’aiment !  

1)      Cabine 73 : Cold Case.            

Baigneuse en toile de fond bleu mer… 

2)     L’œuvre recouvre son créateur : Meurtres barbares.

Crimes en chanson à la Roche d’Oëtre… 

3)      Miroir aux alouettes : Trafic dans le milieu de l’art.

 Plongeon dans la mare de Bouillon... 

4)      Mourir ou renoncer : Mystérieuse disparition.

 Des Éperviers togolais aux Léopards georgiens… 

                 50 Textes poétiques autobiographiques en prose / 70 pages

Né en 1958 à Flers de l’Orne, l’auteur, alors âgé de trois ans, part avec ses parents, son frère ainé et sa sœur cadette, habiter non loin, au bourg de La Bazoque. Deux années passées, la naissance d’un quatrième enfant conduit la famille à déménager au Quartier Saint Michel, la nouvelle banlieue flérienne où dix mois à la suite, un troisième frère naitra, puis bien plus tard, une seconde sœur.                                                                      

A travers cinquante tableaux rendant hommage à l’écriture du Poète Jean Follain, Alain Letondeur tire le fil de ses souvenirs et pose son regard sur les lieux de son enfance, la ville qui l’a vu naitre, les quartiers où il a passé de merveilleux moments inoubliables dans l’espace-temps des mois de juin et juillet 1967.

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Loin de moi l’idée de mimétisme, simplement une volonté admirative de rendre hommage à Jean Follain, à son écriture, à l’enfance et un doux plaisir d’apporter reconnaissance aux vies modestes mais remarquables de « petites gens » aimés, disparus.

L’élève ne dépassant jamais son maitre, je crois humblement n’être autre que moi-même.

Alain Letondeur                           

EXTRAITS

Champignons

Les grues eiffelesques tournoient dans les longues journées de labeur

aux ciels clairs vides d’oiseaux

En ballets incessants les pelleteuses se hâtent de charger la terre végétale

sur le dos des lourds camions-bennes bleu acier à long nez

Des trous béants jaillissent en cratères

Le béton coule

Alors

en kyrielle

se hissent un à un

comme d’inévitables tombeaux

les immeubles d’agglos froids et gris

uniformément tristes et navrants

que sitôt

 les vauriens incultes et daubeurs de la ville auront baptisé

« Cages à lapins ».

La closerie

Enclavée

isolée

une ferme désuète

perdue au milieu des monstres de Lego

Maison graniteuse

étable en torchis

hangars à tout vent

Sous les toits graves montent des beuglements

ceux des Normandes

yeux lunettés

mamelles roses pleines

Les citadins périphériques y viennent acheter

lait beurre cidre œufs et calva

L’odeur est âpre et foncée

tenace aussi

Les habitants des lieux d’humeur rugueuse

sont muets à la paye du lait comme au rendu de la pièce

L’angélus entendu clame l’heure de rentrer

Dans les empreintes des bêtes boueuses 

les souliers reviendront souillés.

Voyage scolaire

Paris

10 Boulevard Montmartre

Des hommes des femmes

encore en vie

ou déjà morts

Célébrités exposées

chaires de cire aux regards absents figés

Dans les alcôves feutrées

les touristes yeux bridés teint cireux

s’empressent de les rencontrer pour une photo portrait   

Au travers du simulacre

clair semés

des écoliers aux rires d’enfants

Extra-muros

à la lumière blafarde 

les bouches du métro avalent

par flots

nombreuses

les ombres de fantômes cadavériques.

                 Poésie sur l'amour, l'amitié et les fantasmes érotiques / 110 pages / 75 textes

                                                             Réservé à un public averti...

Dans ce troisième recueil de textes poétiques de la série « Usurpation d’Identité », Alain Letondeur, comme son double avant lui, Arsène Lupin, se livre aux distractions amoureuses, aux jeux de l’amitié et aux plaisirs des sentiments charnels. Ces textes, bien que certains soient « cash », sont écrits dans le plus profond respect de la chair et de l’âme féminine.

EXTRAITS

Feu du ciel

Naissant d’un ciel obscur

Est-ce le vent soufflant

Qui gifle la ramure

Du chêne aussi ses flancs

Tant les feuilles incarnates 

Qui aux nues s’évaporent

Oscillantes acrobates

Pour mourir aux aurores

Est-ce mon cœur souffrant

Qui d’une déchirure

Laisse mon sang safran

Couler dans la verdure

Vers la rose écarlate  

Où l’amour indolore

A graver les stigmates

D’un châtiment de mort

Amiour

L’amitié sans limite

Est-ce un trop plein d’amour

Que les cœurs purs imitent

Aux formes des contours

Est-ce le fruit défendu

Aux tentations néfastes

Un paradis perdu

Offert aux amours chastes

Est-ce juste le croit-on

Qu’un intime secret

Gardé sous le téton

D’un corsage échancré

L’amitié sans limite

C’est un trop plein d’amour

C’est le fruit défendu

Un intime secret

Monomane

De mon stylo bille stick

L’encre et mes mots giclent

Sur la page blanche et vierge

Ainsi ma langue lèche littéralement

Son corps lisse à dessein

Mon poème nait

Prosé- là- nu

Pour se laisser aimer

Baise-le de tes yeux

Mon texte grand ouvert

Susurre-le de ta bouche

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